Les derniers conseils des ministres de l’Énergie et des ministres de l’Environnement sous la Présidence française du Conseil de l’Union européenne (PFUE) viennent de se tenir le 27 et le 28 juin 2022, à Luxembourg. Ils ont permis au Conseil d’adopter sa position sur la feuille de route européenne « Fit for 55 ». Ce paquet de 13 propositions législatives vise l’atteinte collective de l’objectif européen : une réduction d’au moins 55 % des émissions nettes de gaz à effet de serre en 2030 par rapport à 1990.
Veille documentaire
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En changeant notre modèle anthropocentrique par une prise de conscience « écocentrique », nous dessinerons un monde en meilleure santé, où l’être humain fait partie intégrante de la nature qui l’entoure, expliquent les membres du collectif Tous dehors. Seule une approche systémique permettra le développement d’un lien humain-nature.
Une nouvelle étude scientifique montre que les passages aux urgences psychiatriques augmentent lorsque les températures sont très élevées. Parmi les causes avérées de cet état de mal-être, certaines sont physiologiques. Par exemple, le sommeil peut être de mauvaise qualité quand les nuits sont trop chaudes. Par ailleurs, certains médicaments peuvent majorer les effets de la chaleur, parmi lesquels des neuroleptiques et des antidépresseurs. D’autres peuvent devenir moins efficaces en raison de la transpiration ou de la déshydratation.
L’ARS Bourgogne-Franche-Comté s’engage aux côtés de plusieurs partenaires dans la lutte contre l’ambroisie.
Renoncer à se faire soigner par manque de ressources financières est courant dans les pays où les frais médicaux sont peu ou pas pris en charge par le système de protection sociale. Ce renoncement est plus rare dans un pays comme la France où les soins sont financés à la fois par la Sécurité sociale et des dispositifs spécifiques pour les plus démunis. Toutefois, le « reste à charge » varie et peut constituer un frein à l’accès aux soins. Le statut professionnel, souvent lié à une assurance complémentaire, est-il source de disparités ? À partir des données du Baromètre Santé 2016, les auteur·es explorent cette question en comparant les déclarations de renoncement aux soins des chômeurs et des actifs occupés, ainsi que leurs déterminants.
L’année 2020 a été marquée par la mise en place de mesures sanitaires inédites pour limiter la propagation du virus (deux périodes de confinement de la population, périodes de couvre-feu, distanciation sociale, etc.) ayant pour conséquence directe la limitation des interactions sociales de visu pour l’ensemble des Français. Pour protéger les personnes âgées, plus vulnérables à la Covid 19, le gouvernement a décidé de suspendre toutes les visites dans les structures d’accueil pour personnes âgées pendant toute la durée du premier confinement (du 17 mars au 11 mai 2020). Ce n’est que de manière progressive, après le premier confinement, que les visites aux aînés ont été rendues possibles, mais dans des conditions sanitaires strictes (limitation du nombre de visites, des rencontres sur rendez-vous uniquement, espaces dédiés pour les visites, limitations des sorties des établissements pour les résidents des EHPAD, etc.). Des campagnes de communication ont été diffusées dans les médias pour que le respect des gestes barrières soit adopté par tous, et en particulier dans les interactions sociales avec tous les citoyens âgés de 65 ans ou plus qui constituent des populations plus à risques de développer des formes graves de la maladie. Dans ce contexte inédit, la DGCS a souhaité comprendre comment les liens sociaux et familiaux ont été impactés avec les plus âgés de nos concitoyens. La DGCS a sollicité le Crédoc pour l’intégration de plusieurs questions portant sur les liens familiaux et sociaux des Français avec leurs ainés âgés de 70 ou plus, dans le contexte de pandémie mondiale de Covid 19.
La pratique du sport et ses bienfaits sont reconnus par les Français, y compris par les jeunes: entre 16 et 25 ans, près de neuf jeunes sur dix pensent que les loisirs sportifs permettent d’être en bonne santé et de mieux vivre au quotidien. Pourtant, les précédentes vagues du baromètre de la pratique sportive réalisé par le CRÉDOC et l’UCPA ont mis en évidence qu’un quart des 16-25 ans font peu ou pas du tout de sport. Un zoom sur les non-pratiquants et les pratiquants occasionnels a été réalisé en décembre 2019 pour le volet quantitatif et complété par un volet qualitatif en mars 2021 à l’issue de l’année 2020 marquée par la crise sanitaire. Les résultats remettent en cause l’idée reçue de jeunes volontairement éloignés, voire hostiles à toute activité physique. Les principaux motifs de leur non-pratique ou de leur faible activité physique sont des contraintes comme le manque de temps, l’absence d’équipements à proximité ou encore le coût trop élevé de la pratique sportive. Certains jeunes se disent isolés socialement, d’autres en mauvaise santé. De plus, la crise sanitaire a éloigné certains jeunes de l’activité sportive en générant surpoids et dépressions. Cependant, cette crise a aussi fait naître une envie de refaire du sport, ou d’en faire davantage, avant tout pour se sentir bien, pour être en bonne santé.
Un Centre Ressources Handicap Vie intime, affective, sexuelle et soutien à la parentalité se crée en Bourgogne-Franche-Comté, co-porté par le CREAI BFC, le CICS du Doubs, la Mutualité française bourguignonne.
L’usage des smartphones, des tablettes et des ordinateurs dès le plus jeune âge prend des proportions inquiétantes, selon une enquête Ipsos. Il accélère l’élongation de l’œil, menaçant la moitié de l’humanité de maladies graves.
Le professeur de médecine Steven Le Gouill plaide, dans une tribune au « Monde » en faveur du développement de maisons virtuelles en cancérologie pour mieux lutter contre les inégalités de traitement de cette maladie sur l’ensemble du territoire.
Avec la hausse continue des prix, les associations s’alarment du nombre de jeunes hommes et femmes qui ont du mal à s’alimenter, une fois le loyer et les études payés.
La plateforme AD’venir de l’hôpital Robert Debré à Paris aide les jeunes patients atteints de maladie chronique dans leur transition des services pédiatriques vers ceux dédiés aux adultes. L’objectif ? Les préparer à une organisation et à une communication différentes, mais aussi à gagner en assurance et en autonomie, pour conserver les meilleures chances de contrôler de leur maladie.