Sa diffusion a été favorisée par le commerce international, mais le changement climatique joue un rôle majeur : plus de moustiques plus infectieux pendant plus longtemps dans l’année
Veille documentaire
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Face à un climat sociopolitique morose et aux mauvaises nouvelles qui déferlent quotidiennement sur nos écrans, on peut facilement se laisser envahir par le découragement. Comment transformer ces préoccupations en moteur d’action ? Voici différentes façons et plusieurs bonnes raisons de se mobiliser dès aujourd’hui, pour un avenir plus juste et vert.
La végétalisation des cours d’école et des milieux de garde est une tendance qui prend de plus en plus d’ampleur au Québec. C’est une bonne nouvelle pour tout le monde, incluant les oiseaux! Avec des aménagements bien pensés, ces derniers viendront assurément manger, se réfugier et peut-être même nidifier dans votre cour. Les occasions d’apprentissages sont alors nombreuses et les bienfaits pour la santé environnementale le sont tout autant.
L’activité physique est un facteur de risque modifiable pour plus de 30 affections chroniques touchant les personnes âgées; la pratique de 150 minutes par semaine d’activité physique modérée peut réduire la mortalité toutes causes confondues de 31 %, comparativement à l’absence d’activité physique.
- L’activité physique est l’une des principales façons de préserver ou d’améliorer l’autonomie fonctionnelle, notamment chez les personnes âgées fragiles ou exposées à un risque accru de chute.
- Un niveau élevé d’activité physique chez les personnes aînées est associé à une amélioration de la fonction cognitive, de la santé mentale et de la qualité de vie.
- L’âge, la fragilité ou les déficiences fonctionnelles, au lieu d’être considérés comme des contre-indications absolues à l’activité physique, devraient plutôt motiver sa prescription, compte tenu des bienfaits des interventions en matière d’activité physique chez les personnes âgées.
Entretien avec le Dr Véronique Nègre, pédiatre et présidente de l’APOP, Association de Prise en charge et de prévention de l’Obésité en Pédiatrie.
Le 19 novembre 2024, à l'occasion de la Journée mondiale des toilettes et des 10 ans du programme « Ne Tournons Pas Autour Du Pot », le Fonds BYX, géré par la Fondation Roi Baudouin, a organisé un symposium à Bruxelles avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Cet événement marquant a réuni des experts et des acteurs du secteur pour discuter des avancées et des défis liés à l'accès aux toilettes dans les écoles. Les actes du symposium offrent un aperçu détaillé des discussions, des présentations et des conclusions de cette journée enrichissante.
La recherche engagée par l’Observatoire des non-recours aux droits et services (ODENORE), en collaboration avec la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA) et l’École nationale de sécurité sociale (EN3S), avait pour objectif initial de s’intéresser aux situations de non-recours aux droits et services de soutien à l’autonomie chez les personnes du « grand-âge » ; il s’agissait d’en saisir les formes, les ressorts et le sens, à partir d’une enquête qualitative conduite dans plusieurs territoires. Au moment de l’élaboration de cette recherche, notre hypothèse générale était que recourir à des offres dédiées au « grand âge » et ayant vocation à soutenir l’autonomie, à côté des enjeux d’information, de connaissance des offres et d’orientation parmi celles-ci, revêt une dimension profondément symbolique, en tant qu’il s’agit pour les personnes, de se percevoir comme entrant dans une forme de fragilité et/ou de se projeter dans une potentielle perte d’autonomie à venir, dans un état de dépendance ou de santé qui se dégrade.
La pauvreté ne peut se définir seulement par la faiblesse des revenus, tant elle implique une multitude de dimensions sociales et économiques. Elle affecte de nombreux ménages, qui, malgré des revenus similaires, peuvent éprouver des difficultés variées en fonction de leur endettement, des coûts de leur logement ou de leur possibilité d’accéder à l’emploi et aux services publics. Ces facteurs interconnectés créent souvent un cercle vicieux de privations et d’exclusion, rendant insuffisante l’approche unidimensionnelle du taux de pauvreté monétaire, qui ne capture pas la globalité des conditions de vie.
Les objectifs du baromètre national des pratiques sportives sont de mesurer la pratique sportive en France en 2024, à l'aube des Jeux olympiques et paralympiques (JOP), par grands univers sportifs et selon les caractéristiques des personnes. Ils sont également de suivre les évolutions à intervalles réguliers (2018, 2020, 2022, 2023, 2024) et mesurer les évolutions en termes de modalités, mobiles et freins de la pratique ; comprendre les raisons de la pratique et de la non-pratique ; faire un focus spécifique sur la pratique en club ou association sportive, sur l'implication et l'engagement dans les clubs et associations sportifs ainsi que sur les activités physiques ou sportives en milieu professionnel/universitaire.
En mobilisant les réclamations qui lui ont été adressées, la jurisprudence existante, complétées par des contributions adressées par des acteurs associatifs et nourri par plus de 1500 témoignages, ce rapport apporte un éclairage nouveau sur la grande variété des critères et des situations de discrimination. Le handicap, le sexe, l’état de santé, l’apparence physique, l’origine, la particulière vulnérabilité résultant de la situation économique, l’orientation sexuelle ou encore la religion des patients ne sauraient pourtant être mobilisés pour fonder un traitement inégalitaire.
Les témoignages reçus mettent en évidence différentes modalités d’expression de ces discriminations : refus de soins explicites, délais d’attente supplémentaire ou proposition de créneaux horaires spécifiques, réorientation abusive, inaccessibilité physique des lieux de soins, consultation écourtée, propos stigmatisants, minimisation des symptômes, orientation vers des soins différents, etc.
Certaines études et travaux de recherches montrent que l’ampleur de ces discriminations dépasse largement le nombre de plaintes et de réclamations reçues par le Défenseur des droits, les ordres professionnels et l’assurance maladie. Au regard de leur banalisation et des inégalités de traitement qu’elles engendrent, ces discriminations révèlent un problème systémique.
Nathalie Bajos, sociologue et démographe, est directrice de recherche à l'Inserm et directrice d'étude à l'EHESS. Elle est professeure invitée sur la chaire annuelle Santé publique au sein du Collège de France. Elle prononce ici la leçon inaugurale de la chaire, cette année intitulée La production sociale des inégalités de santé. Elle appelle tout d'abord à considérer que ces inégalités sont l'une des manifestations les plus saillantes de l'inscription des structures sociales dans les corps et qu'il importe en conséquence d'appréhender les principaux rapports sociaux de pouvoir, qui renvoient notamment aux positions de genre, de classe et ethnoraciale, qui façonnent les pratiques sociales. Elle invite aussi à ne pas appréhender le biologique indépendamment du social mais à penser l'interaction complexe entre ces deux dimensions. Elle engage enfin à analyser les pratiques de santé au sein de trajectoires de vie, de la naissance jusqu'à la mort, en interaction avec les conditions d'accès et de prise en charge par les systèmes de soins.
Le nombre de cas d'allergies alimentaires ne cessent d'augmenter en France.
Découvrez, dans ce clip 2 minutes tout compris, les symptômes, la prise en charge et les gestes à adopter en cas de réaction allergique chez l’enfant et l’adolescent.
Ce clip vise à sensibiliser l’entourage familial et social des jeunes pour mieux les accompagner.