Veille documentaire

Le présent point de pratique contient des conseils fondés sur des données probantes à l’intention des programmes de vaccination provinciaux et territoriaux, des cliniques et des cabinets afin de contrer la réticence envers la vaccination et d’améliorer les taux de vaccination. Les étapes à privilégier s’établissent comme suit : 1) définir les sous-groupes sous-vaccinés (ce qui exige la tenue de registres), les facteurs responsables de la réticence envers la vaccination et les interventions ciblées; 2) enseigner les pratiques exemplaires à tous les dispensateurs de soins qui participent à la vaccination; 3) faire appel à des stratégies fondées sur des données probantes pour accroître les taux de vaccination, y compris les rappels, un emplacement des cliniques et des heures d’ouverture pratiques et des communications adaptées; 4) informer les enfants, les adolescents et les adultes de l’importance de la vaccination pour la santé et 5) travailler en collaboration avec les régions sociosanitaires provinciales et territoriales et avec le gouvernement fédéral, les organismes non gouvernementaux, les leaders communautaires et les services de santé.

« Chaud devant ». Prendre conscience des enjeux environnementaux grâce à un jeu de société peut être tentant pour des parents préoccupés par ces questions. Au risque d’oublier que les enfants veulent avant tout s’amuser.

Selon Santé publique France, l'épidémie de grippe saisonnière, qui a d'abord touché la région Ile-de-France, s'est propagée à trois autres régions de France métropolitaine, dont la région Bourgogne-Franche-Comté.

Contrairement aux approches traditionnelles, souvent centrées sur la transmission directe des savoirs par l’enseignant, les pédagogies actives mettent l’élève au centre du processus éducatif. Leur mise en œuvre implique un changement dans le rôle de l’élève et dans la posture de l’enseignant, changement qui, de ponctuel, peut devenir plus global.

Demain, tous et toutes vulnérables ? En 2040, quels risques socio-écologiques, quels impacts sur la santé et ses déterminants, et quel rôle pour les acteurs de la santé et de la protection sociale ? C’est autour de cette question, et avec l’ambition de révéler des vulnérabilités de santé encore peu discutées, que le Groupe VYV a conduit une réflexion ambitieuse au cours de l’année 2024. Assumant pleinement le rôle décisif que la prospective aura à jouer dans l’anticipation des impacts des bouleversements écologiques en cours, cette démarche a reposé sur la construction de 4 scénarios prospectifs dont l’objectif était de balayer un large spectre de vulnérabilités de santé afin de rompre avec les projections linéaires habituelle.

À partir d’une enquête qualitative auprès de quinze jeunes âgés de 12 à 21 ans, menée dans différents environnements (hôpital, collège, domicile), une description de la façon dont les jeunes atteints d’asthme perçoivent cette maladie chronique est proposée. Leurs perceptions de la maladie sont ancrées dans le vécu de la crise d’asthme qui marque souvent une forme de traumatisme et parallèlement dans une temporalité de l’intermittence. Le travail sur les émotions, fourni par les jeunes, est important dans les interprétations des signes de leurs corps et dans le développement de techniques d’adaptation face aux symptômes. Aussi, la place des objets, et notamment l’usage des inhalateurs, influence les capacités d’agir sur les temporalités de la maladie chez les jeunes atteints d’asthme, et permet de réguler les signes avec une plus grande autonomie.

Depuis 2019, les directions de santé publique du Québec réalisent une évaluation des vulnérabilités et risques régionaux liés aux changements climatiques (VRAC) dans le but de concevoir des plans d’adaptation régionaux au climat en santé publique (PARC). L’INSPQ et le ministère de la Santé et des Services sociaux les soutiennent, ainsi que leurs partenaires.

Les changements climatiques peuvent aggraver les inégalités de santé en raison de la relation complexe entre les conséquences des aléas climatiques et les déterminants de la santé tels que le revenu, l’éducation, l’emploi ainsi que les conditions de travail et de vie. Ces facteurs peuvent accroître ou réduire l’exposition d'un individu aux risques climatiques, influencer sa sensibilité et limiter sa capacité à se protéger. Les changements climatiques peuvent avoir des effets importants sur les infrastructures, l’environnement, les milieux de vie des populations de même que leur contexte social et communautaire.

Les changements climatiques peuvent aggraver les inégalités de santé en raison de la relation complexe entre les conséquences des aléas climatiques et les déterminants de la santé tels que le revenu, l’éducation, l’emploi ainsi que les conditions de travail et de vie. Ces facteurs peuvent accroître ou réduire l’exposition d’un individu aux risques climatiques, influencer sa sensibilité et limiter sa capacité à se protéger. Par ailleurs, certaines professions ou certains milieux de travail peuvent augmenter l’exposition des travailleuses et des travailleurs aux aléas climatiques.

Les changements climatiques peuvent aggraver les inégalités de santé en raison de la relation complexe entre les conséquences des aléas climatiques et les déterminants de la santé tels que le revenu, l’éducation, l’emploi ainsi que les conditions de travail et de vie. Ces facteurs peuvent accroître ou réduire l'exposition d'un individu aux risques climatiques, influencer sa sensibilité et limiter sa capacité à se protéger. À l’échelle individuelle, la qualité du logement est un déterminant de la santé exerçant une grande influence sur les risques sanitaires reliés aux changements climatiques.

Elle explique pourquoi les aléas climatiques ont tendance à affecter davantage ces groupes. Elle résume à la fois les facteurs de risque associés à l’exposition, mais aussi à la vulnérabilité. Des exemples d’effets sur la santé sont également mentionnés.