Qu'est-ce que l’anorexie, la boulimie ou l’hyperphagie? Comment prend-on en charge un trouble du comportement alimentaire… et peut-on en guérir? Comment en parler et accompagner celles et ceux qui affrontent ces troubles?
Veille documentaire
Un appel à projet auquel candidater ? Une publication incontournable ? Une actualité indispensable? Une vidéo particulièrement percutante ? Retrouvez ici les informations repérées chaque jour par notre équipe concernant toutes les thématiques du Rrapps.
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Pendant les vagues de chaleur, les îlots de chaleur urbains (ICU) affectent les quartiers des villes de manière hétérogène en raison des différences dans la forme urbaine, la qualité des bâtiments, la végétation et l'activité humaine. Certaines populations sont particulièrement vulnérables, comme les personnes âgées, les jeunes enfants ou les ménages à faibles revenus, qui ont moins d'options face aux ICU. Dans cet article, nous mesurons pour la première fois l'exposition aux ICU des ménages en fonction de leur revenu dans les principales villes françaises.
Cette fiche-repère a été conçue à partir des résultats de l’évaluation régionale menée sur le programme d’actions précarité de Promotion Santé BFC (anciennement Ireps) 2020-2022.
Elle s'adresse particulièrement aux acteurs du champ de la précarité (travailleurs sociaux, bénévoles du secteur associatif ou caritatif, personnes accompagnées, volontaires en service civique, professionnels médico-sociaux, encadrants techniques…).
Elle invite à intégrer la prévention et promotion de la santé dans les pratiques professionnelles, en détaillant les trois leviers principaux d'efficacité (travail partenarial, formation, participation des publics), en donnant des exemples d'actions inspirantes, et en proposant des ressources utiles.
En interrogeant les participants de la 6ème Journée annuelle du Pôle fédératif de recherche et de formation en santé publique BFC retrouvent la complexité qui bien souvent définit les problèmes de santé publique et nécessite de multiples acteurs avec son lot de difficultés.
En interrogeant les participants de la 6ème Journée annuelle du Pôle fédératif de recherche et de formation en santé publique BFC retrouvent la complexité qui bien souvent définit les problèmes de santé publique et nécessite de multiples acteurs avec son lot de difficultés.
Une évaluation sénatoriale dresse un bilan très mitigé du dispositif Trente minutes d'activité physique quotidienne à l'école. Quatre ans après son lancement, moins de la moitié des écoles primaires l'ont mis en œuvre pour la majorité de leurs élèves.
Jennifer Oses, écotoxicologue/toxicologue chez POLLENS et Ragnar Weissmann, expert en santé-environnement chez Objectif santé environnement (OSE) ont accompagné un groupe de jeunes sourds au sein de l’Institut National de Jeunes Sourds de Gradignan pour créer un outil de communication adapté à tous mais surtout aux personnes en situation de handicap auditif. Ils ont choisi la vidéo d’animation pour support.
La précarité alimentaire est un phénomène complexe qui se rapporte à la difficulté ou l'empêchement d'accès à une alimentation sûre, diversifiée, de bonne qualité et en quantité suffisante. Nous proposons d’utiliser la notion d'insuffisance alimentaire pour approcher ce phénomène, à travers ses deux facettes : les personnes en insuffisance alimentaire quantitative (que l’on qualifie de précaires sur le plan alimentaire), et celles pour qui l'accès à la nourriture est suffisante, mais ne correspond pas toujours aux aliments qu'elles souhaiteraient pouvoir consommer. Cet indicateur d'insuffisance alimentaire présente une relative stabilité avant 2021. Entre 2021 et 2023, la part des ménages en insuffisance alimentaire ou ayant accès à une alimentation suffisante mais pas toujours choisie augmente, entrainant de ce fait une baisse de la part de ménages ayant toujours accès aux aliments souhaités. En avril 2023, 10 % des ménages déclarent être en insuffisance alimentaire et 51 % déclarent avoir accès à une nourriture suffisante, mais qui ne correspond pas toujours aux aliments qu'ils souhaiteraient pouvoir consommer. La catégorie socio-professionnelle ou le niveau de diplôme du responsable des courses ou la composition du ménage expliquent l’insuffisance alimentaire. Les femmes sont plus à risque d’avoir accès à une alimentation suffisante mais qui ne correspond pas toujours aux aliments souhaités, ce n’est pas le cas pour le risque d’être en précarité alimentaire. Les disparités de profil socio-démographique concernant la précarité alimentaire s'accentuent entre 2021 et 2023, tandis que l'impossibilité de toujours avoir accès aux aliments souhaités se généralise.
Les niveaux d'activité physique (AP) de la population française sont encore faibles, notamment chez les femmes et les enfants et rendent compte de plusieurs inégalités sociales et territoriales de santé : Seulement 33 % des filles et 51 % des garçons de 6 à 17 ans atteignent les recommandations d'AP. Ces pourcentages varient selon le sexe, l'âge et le niveau de diplôme de l'adulte de référence du ménage : – les filles sont physiquement moins actives que les garçons ; – les enfants les plus jeunes (6-10 ans) sont les plus actifs ; – le niveau d'AP des enfants diminue après l'âge de 10 ans (correspondant à l'entrée au collège) ; – la proportion d'enfants physiquement actifs (atteignant les recommandations d'AP) est plus faible au sein des ménages les moins diplômés. 53 % des femmes et 71 % des hommes de 18-74 ans atteignent les recommandations d'AP avec de nombreuses disparités sociodémographiques et territoriales : – contrairement aux hommes, la proportion de femmes physiquement actives (atteignant les recommandations d'AP aérobiques) a diminué entre 2006 et 2016 ; – la proportion de femmes physiquement actives est ainsi inférieure à celle des hommes quels que soient l'âge ou le niveau de diplôme ; – la proportion d'hommes et de femmes physiquement actifs est plus faible chez les personnes les moins diplômées. Les comportements sédentaires sont fréquents : 8 enfants sur 10 passent 2 heures et plus par jour devant un écran ; – le temps quotidien passé devant les écrans est plus important chez les enfants issus des ménages les moins diplômés ; – le temps quotidien passé par les enfants devant les écrans a augmenté de plus d'une heure entre 2006 et 2016. 8 adultes sur 10 déclarent un temps d'écran de loisirs supérieur à 3 heures par jour et plus de 20 % passent plus de 7 heures assis par jour : – la sédentarité touche davantage les adultes les plus jeunes (18-39 ans) et les adultes résidant dans les agglomérations à forte densité ; – la durée quotidienne passée devant un écran dans le cadre des loisirs est supérieure chez les adultes les moins diplômés.
Le programme Sérum Psy, expérimenté auprès de 200 étudiants en sciences infirmières par la Mutuelle nationale des hospitaliers (MNH) vise à renforcer leurs compétences psychosociales pour qu’ils puissent mieux affronter les défis de leur futur environnement professionnel.
Episode 1 : Rencontre avec les acteurs d'un projet permettant d'améliorer l'accès aux soins d'ophtalmologie dans l'Yonne - Episode 2 : Direction la Nièvre pour découvrir un projet régional permettant à tout médecin généraliste d'avoir accès à la dermatologie pour leurs patients - Episode 3 : A bord d'un médico-bus destiné à aller vers les populations qui ont des difficultés d'accès aux soins et à la prévention en Haute-Saône. Episode 4 : A la rencontre des acteurs qui font vivre un cabinet médical éphémère dans le Nord-Franche-Comté. Episode 5 : Etape dans le Jura afin de découvrir un projet de coopération inter-hospitalier qui permet de maintenir une offre de chirurgie sur le bassin Dolois. Episode 6 : Détour dans le Doubs pour rencontrer les acteurs qui ont mis en place une nouvelle offre de proximité pour les jeunes avec des permanences de la Maison des adolescents en milieu rural. Episode 7 : Direction la Saône-et-Loire, afin d'échanger sur un projet favorisant le maintien à domicile des personnes âgées. Episode 8 : Rendez-vous en Côte d’Or où se déploie la lutte contre le moustique tigre avec l'appui de nombreux partenaires.
Les maladies cardiovasculaires chez les femmes représentent un véritable enjeu de santé publique. Alors que les facteurs de risque se multiplient et que les comportements à risque perdurent, pour Marie-France Seronde, cardiologue au CHU de Besançon, il devient urgent d’intensifier les efforts de prévention et de sensibilisation.