L'objectif de ce guide n’est pas de conduire à un diagnostic mais de sensibiliser chacun à une attention particulière devant ce qui fait manifestation du mal être dans le cadre scolaire. Il s’agit d’accéder à un essai de compréhension, en évitant le simplisme des causalités ou des réponses univoques. Il s’agit donc de se garder de voir dans toute difficulté ou originalité du vivre, avec ou sans mal-être apparent, une pathologie ou handicap à identifier, normaliser ou compenser.
Veille documentaire
Un appel à projet auquel candidater ? Une publication incontournable ? Une actualité indispensable? Une vidéo particulièrement percutante ? Retrouvez ici les informations repérées chaque jour par notre équipe concernant toutes les thématiques du Rrapps.
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L'une des principales mesures d'adaptation aux changements climatiques est le verdissement urbain. Or, il est prouvé que le verdissement des cours d'école apporte de multiples cobénéfices pour le bien-être et la santé de tous ceux qui fréquentent les écoles ou travaillent en milieu scolaire. En effet, un contact physique quotidien avec la nature incite à l'activité physique, améliore la santé mentale, augmente les performances scolaires et favorise la productivité des employés. Il n'est pas nécessaire d'aller à l'extérieur pour en ressentir un bénéfice. Une fenêtre offrant une vue sur une cour arborée génère de multiples bienfaits pour ceux qui sont assis dans une classe ou travaillent dans un bureau.
En 2025, le Centre national de ressources et d’appui aux CLSM et l’Ecole des hautes études en santé publique (EHESP) collaborent dans le cadre du projet « Pacte CLS », un programme de formations à destination des coordonnateurs des CLS et plus globalement des chargés de missions santé dans les territoires.
Porté par l’EHESP, ce programme intègre un nouveau module sur la santé mentale élaboré par Fanny Pastant et Sonia Charapoff, afin d’outiller les acteurs sur les bases et ressources indispensables pour porter une stratégie de santé mentale dans leur territoire.
Dans le cadre du lancement de ce module, un webinaire a été organisé le 30 septembre 2025 à sur la thématique de l’articulation des démarches territoriales de santé mentale. A partir d’apports théoriques et de retours d’expériences, ce webinaire proposait de réfléchir collectivement à un sujet qui pose de nombreuses questions, afin d’identifier les leviers et bonnes pratiques pour coordonner efficacement les projets de santé mentale au sein des collectivités.
La bibliothèque vivante fait partie des actions de lutte contre la stigmatisation dites « de contact ». Elle se base sur la rencontre avec le vécu d’une autre personne, et permet plus facilement de s’identifier, de questionner ses représentations. Cela permet d’aller voir au-delà d’une étiquette pour découvrir des personnes dans leur globalité et multiplicité.
Le cœur du guide repose sur dix questions simples mais essentielles à se poser avant de rédiger un article, un communiqué de presse, un discours, une publication sur les réseaux sociaux ou encore de réaliser un film. La première est frontale : décrire ou caricaturer ? Le Conseil rappelle que certaines expressions, passées dans le langage courant, entretiennent des représentations dégradantes et banalisent la stigmatisation. Dire d'un débat qu'il est « de sourds » ou qualifier une personne « d'autiste à la critique » ne relève pas d'une image anodine mais d'un usage « imprécis, mal à propos et insultant ».
Le Conseil Economique Social et Environnemental Régional (CESER) du Grand Est a fait le choix de s’autosaisir de la thématique de la santé mentale des jeunes après avoir pris en compte les multiples alertes issues des études, des rapports et des articles de presse. Les acteurs de terrain font état de la fragilité d’une partie de la jeunesse, d’un accès aux soins de plus en plus difficile dans tous les territoires et de la nécessité de prendre en compte cette problématique dans toutes les politiques publiques.
L’Insee et la Drees publient des projections d’effectifs de personnes âgées en perte d’autonomie à l’horizon 2070. Ces travaux s’appuient sur différentes enquêtes de la Drees, notamment l’enquête Vie quotidienne et santé (VQS), l’enquête Autonomie-Ménages, l’enquête auprès des établissements d’hébergement pour personnes âgées (EHPA) ainsi que sur Omphale, outil méthodologique de projections d’habitants, d’actifs, de logements et d’élèves développé par l’Insee.
Première cause de décès évitables en France, le tabac touche plus particulièrement les personnes précaires. Face à ce constat, TAPREOSI ou « Tabac et précarité, évaluation opérationnelle d’une stratégie d’intervention » est un projet expérimental qui vise à proposer une méthodologie aux professionnels de l’accueil-hébergement-insertion (AHI) et de l’addictologie afin qu’il puisse accompagner la réduction du tabagisme chez les personnes accueillies. Il reçoit le soutien du Fonds de lutte contre les addictions.
« Chaud devant ». En France, le réchauffement rend plus probable de vivre un événement extrême au cours de sa vie. Transmettre à ses enfants les bons réflexes à avoir au cours de ces crises, que beaucoup de parents n’ont jamais vécues, nécessite un entraînement, pas forcément angoissant.
Dans un entretien au « Monde », le psychiatre Raphaël Gaillard alerte sur les dangers que peut représenter l’utilisation de l’intelligence artificielle comme confident. Mais il reconnaît son utilité, si l’outil est bien encadré.
Date limite de dépôt de dossier : 7 avril 2025. Ce label « Ville Active et Sportive » récompense les initiatives et politiques des communes en faveur du développement de l’activité physique et sportive pour toutes et tous. Il apporte une reconnaissance à leur engagement volontariste, ainsi qu’à l’énergie déployée par les élus en charge du sport, leurs équipes et les acteurs du sport sur le terrain.
Les enfants de 0 à 5 ans qui utilisent de façon importante les écrans ont un risque accru de présenter des difficultés sur le plan du développement et de la santé. Pendant la petite enfance, les parents jouent un rôle majeur concernant l’usage des écrans de leur enfant. Leurs perceptions à l’égard de cet usage font partie des multiples facteurs qui influencent la durée d’utilisation des écrans du tout‑petit. Cette synthèse de connaissances documente ces perceptions dans la littérature internationale. Les constats qui en ressortent ne peuvent être généralisés à la population du Québec, mais donnent une idée de certaines réalités parentales.