Les femmes sont particulièrement touchées par les enjeux de santé mentale : dans le cadre de la Grande cause nationale consacrée à la santé mentale, le ministère du Travail, de la Santé, des Solidarités et des Familles a lancé son premier baromètre « Les Français et la santé mentale des femmes ». Selon celui-ci, 21% des Français estiment que les problèmes de santé mentale touchent davantage les femmes et 64 % d’entre eux déclarent souhaiter être mieux informés sur la santé mentale des femmes. Du point de vue des femmes, 27 % d’entre elles considèrent que les troubles de santé mentale les affectent davantage, particulièrement chez les moins de 50 ans, et plus encore chez les 18-35 ans.
Veille documentaire
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Dans le cadre du renforcement de la politique publique en faveur de la santé pour tous, le guide « Santé mentale et activité physique » a été élaboré pour promouvoir les bienfaits de l’activité physique et sportive (APS) pour la santé mentale.
L’usage des écrans s’est largement intensifié ces dernières années, soulevant de nombreuses interrogations sur leurs conséquences sur notre santé. Ce webinaire scientifique, proposé par l’IReSP, explore les effets des écrans sur le développement cognitif, émotionnel et physique, notamment chez les enfants et les adolescents.
Appli, jeux vidéo actifs, montres intelligentes, plateformes… les outils numériques consacrés à l’activité physique ont-ils fait leurs preuves pour nous motiver à bouger davantage ? Et conviennent-ils à tous les publics, depuis les enfants jusqu’aux personnes âgées ?
Les États Généraux de l'Obésité, tenus le 3 mars 2025 au Ministère de la Santé à Paris, ont réuni divers acteurs pour discuter des impacts sanitaires, économiques et sociaux de l'obésité. Les discussions ont porté sur la nécessité d'une approche globale et multisectorielle, incluant la prévention, les soins, l'accompagnement social et les évolutions législatives. Les participants ont souligné l'importance de la formation des professionnels de santé, de la coordination des parcours de soins et de la lutte contre la stigmatisation des personnes obèses. Des engagements concrets ont été proposés, tels que la généralisation du modèle RéPPOP, la promotion du Nutriscore, et la réforme des publicités alimentaires ciblant les enfants. L'événement a mis en lumière la nécessité d'une mobilisation collective et interministérielle pour faire de l'obésité une priorité de santé publique.
Cette bibliographie s’inscrit dans le contexte des Rendez-vous de la Doc du 16 juin 2025 intitulés «La sexualité qui vient : jeunesse et relations intimes après #METOO » et présentés par Yaëlle AMSELLEM-MAINGUY, sociologue à l’INJEP et Marie BERGSTROM, sociologue à l’INED. Cette bibliographie n’est pas exhaustive. La période de la sélection court de 2018 à 2025. Les références bibliographiques sont extraites de la base documentaire de l’INJEP « Télémaque » : https://telemaque.injep.fr/. Elles sont classées par types de documents : articles, ouvrages, brochures, actes de colloques et rapports-études, puis par ordre de parution décroissante. Ces références sont consultables au centre de ressources de l’INJEP.
Le 3 avril 2025, le Pôle Santé Publique BFC organisait sa 7e journée annuelle à Dijon, autour du thème :
« Le travail, c’est la santé ! Comment faire pour la préserver ? »
Table ronde, ateliers, échanges : cette journée a permis d’explorer les liens entre santé publique et santé au travail.
Face aux 2 millions de personnes âgées victimes d’isolement en France (dont 530 000 en état de « mort sociale ») agir devient une nécessité. L’association Petits Frères des Pauvres met à la disposition de tous « Se former pour Agir », un parcours de formation en ligne entièrement gratuit, conçu pour renforcer l’efficacité de nos actions collectives et donner des armes à ceux qui souhaitent s’engager contre l’isolement de nos aînés.
Cette sélection de ressources présente des références documentaires de qualité en matière d'universalisme proportionné pour permettre aux acteur∙ices de terrain ainsi qu'aux décideur∙euses politiques de s'informer et de soutenir l'application de cette approche de manière éclairée, cohérente et adaptée aux contextes.
L’universalisme proportionné est une approche majeure pour lutter contre les inégalités sociales de santé par l’aplanissement de la pente du gradient social de santé. Elle est donc centrale en promotion de la santé. En référence à la définition de Michael Marmot (2010), l’approche consiste à assurer l’existence d’une offre de services et d’interventions accessibles à l’ensemble de la population (universalisme) et ajustables en fonction des besoins de santé spécifiques (proportionné). L’idée est de dépasser les limites des approches consistant à développer, soit des mesures universelles sans lever les barrières d’accès aux groupes en situation de vulnérabilité, soit des mesures ciblées qui peuvent induire une stigmatisation des bénéficiaires et indûment exclure certains publics. L’universalisme proportionné invite à intégrer ces deux approches de manière cohérente.
Partout dans le monde les gens reconnaissent l'impact profond de nos crises environnementales communes sur la santé humaine. La déstabilisation des principaux systèmes vitaux de la terre, tels que l'air, l'eau, les forêts et la biodiversité, menace la santé et le bien-être des êtres humains et de toutes les formes de vie, aujourd'hui et demain. La santé et le bien-être des êtres humains sont inextricablement liés à la terre et au climat, à la qualité de l'air que nous respirons, de l'eau que nous buvons, de la nourriture que nous mangeons et de la biodiversité.
Ce module a été conçu avec l’ADEME, l’Arcep, l’IGN, ECOLAB, la Direction générale des entreprises (ministère de l’Économie), le DReDIS de la Sorbonne, Inria, Sciences Po et Telecom Paris pour faire le point sur ce que nous savons aujourd’hui de l’impact environnemental de l’IA et proposer des bonnes pratiques aux utilisateurs et utilisatrices.