Après bientôt 20 ans d’existence et pour aller plus loin dans la prévention, le dispositif bucco-dentaire « M’T dents » destiné aux enfants et aux jeunes âgés de 3 à 24 ans est modernisé. Pour soutenir ce réflexe préventif, l’Assurance Maladie lance le 28 septembre une nouvelle campagne de communication à destination des enfants, des parents ainsi que des jeunes adultes.
Veille documentaire
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Dans le cadre de son virage préventif pour des « Générations sans carie », l’Assurance Maladie a conçu un kit d’animations à destination des enfants de grande section de maternelle. Facilement utilisable par les enseignants, les chargés de prévention, les animateurs périscolaire, les associations, la PMI ou les parents, il propose une heure de sensibilisation ludique et pédagogique.
L'une est oncologue, l'autre rescapée d'un cancer du sein. Ensemble, elles lancent Cancerock, une chaîne YouTube pour répondre scientifiquement et humainement à toutes les questions que se posent les malades ou leurs proches.
Convoquer la linguistique pour évoquer sa fonction d’aidante ou d’aidant – sa place auprès du proche qu’on accompagne, la façon dont on nomme la maladie qui l’affecte, les liens qui nous unissent… –, c’est l’objet d’une recherche participative originale menée par des linguistes auprès d’aidantes de malades d’Alzheimer.
Le guide recentre la notion de vulnérabilité comme enjeu méthodologique et éthique du soin à domicile, au-delà de la simple fragilité. Il propose des définitions issues de l’anthropologie, de la sociologie et des pratiques soignantes, pour une compréhension multifactorielle intégrant l’environnement, les ressources personnelles, le contexte social et les interactions professionnelles. L’outil propose des critères d’évaluation et privilégie la reconnaissance des capacités de la personne, tout en considérant l’impact des dispositifs et des normes sociales sur l’aggravation ou l’atténuation de la vulnérabilité.
Les membres du comité de projet « Agir pour la santé du vivant en BFC » se sont rejoints à Besançon le 19 juin dernier. Au programme de cette journée trimestrielle destinée à développer le réseau des acteurs de la santé-environnement : une balade sensible dans Planoise, l’un des quartiers prioritaires de la métropole de Besançon. Au cours d’une déambulation, les participants ont pu découvrir différentes facettes de ce quartier (ambiance, lien social, offre alimentaire, offre de services et de soins…), contées par un acteur du tissu associatif local très investi.
Le Conseil d’État a été saisi, le 15 mai 2025, par le Premier ministre, d’une demande d’avis portant sur les différentes catégories d’habitats « partagés » et comportant les six questions suivantes :
1° Parmi les différents statuts susceptibles de s’appliquer à l’habitat partagé, quels sont ceux qui, en l’état actuel du droit, sont nécessairement exclusifs les uns des autres et quels sont ceux qui sont, le cas échéant, cumulables ? En vue de réduire la complexité normative, des rapprochements ou des fusions sont-ils possibles ? 2° Ces statuts permettent-ils, et à quelles conditions, la mixité des lieux de vie, autrement dit la possibilité de voir cohabiter, non seulement des personnes présentant différentes vulnérabilités, mais aussi des personnes vulnérables avec d’autres qui ne le sont pas ?3° Certains de ces statuts relèvent de la législation des « établissements médico-sociaux » (livre III du code de l’action sociale et des familles), quand d’autres se présentent comme constituant des logements ordinaires, le cas échéant sous un mode d’occupation collective et accompagnée. Quels sont les critères qui permettent, concrètement, de les distinguer ?4° A des fins de sécurisation des différents acteurs peut-on, en réponse à la question précédente, envisager une méthode de caractérisation plus sûre que celle du « faisceau d’indices », le cas échéant en ayant recours à des critères simples permettant, au moins, une présomption réfragable ?5° Quelles conséquences s’évincent-elles, au vu des critères ainsi posés pour caractériser l’aide apportée par une personne « 3P », quant à l’étendue de ce que peut financer la nouvelle « aide à la vie partagée » prévue par l’article L. 281-2-1 du même code, qui peut, si le règlement départemental d’aide sociale le prévoit, être versée à la personne morale chargée d’assurer le projet de vie sociale et partagée d’un habitat inclusif ? Le cadre de définition actuel, en ce qu’il laisse chaque département en fixer le contour, soulève-t-il des difficultés juridiques au regard, notamment, du principe d’égalité devant la loi ?6° Enfin, l’avis du Conseil d’Etat est également sollicité sur le point de savoir si, au vu des réponses aux questions qui précèdent, des modifications du cadre normatif actuel doivent être envisagées et, si oui, lesquelles
Comment savoir si les hauts et les bas, vécus par un adolescent, font partie des étapes
habituelles de l’adolescence ou s’ils nécessitent d’être évalués ?
Avec l’entrée dans le grand âge des membres de la génération du baby-boom, la France fait face à une augmentation considérable des besoins d’accompagnement. Les politiques publiques misent sur le maintien à domicile, mais cette orientation repose largement sur l’aide des proches (conjoints, enfants, petits-enfants), dont la disponibilité risque de diminuer. Les personnes âgées veulent-elles vraiment dépendre de leur entourage pour rester à domicile ? Et leurs proches le souhaitent-ils ?
En 2025-2026, l’Ansa mène avec l’association Cop1 - solidarités étudiantes, une recherche-action nationale portant sur la précarité alimentaire des étudiant·es. Soutenue dans le cadre du programme national pour l’alimentation (PNA), cette enquête souhaite donner toute leur place aux acteurs des territoires et aux étudiant·es en situation de précarité dans l’analyse et la formulation de propositions pour améliorer leur situation.
Un groupe d’experts européens a publié des recommandations pour favoriser une utilisation durable des médicaments et réduire les risques que leur mésusage fait courir à l’être humain comme à l’environnement. La France est déjà engagée dans cette voie et l’ANSM contribue directement à plusieurs des actions que le rapport recommande.
À Cincinnati, les infections aux souches cancérigènes du HPV ont reculé de plus de 70% chez les jeunes femmes non-vaccinées. Un signal fort en faveur d'une vaccination élargie à l'origine d'une immunité collective particulièrement efficace.