L’Agence Régionale de Santé Bourgogne-Franche-Comté et les acteurs de la cancérologie régionale annoncent le déploiement du DCC 2.0 – Dossier Communicant de Cancérologie – un nouvel outil numérique au service de la coordination des parcours de soins en cancérologie.
Veille documentaire
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Les activités de soins génèrent une quantité importante de déchets. Ces derniers constituent des déchets d’activités de soins. Ces déchets sont en majorité issus de l’activité des professionnels de santé en établissements de santé, en établissements médico-sociaux, en hospitalisation à domicile ou en cabinet libéral au cours de l’acte de soins. Ils peuvent présenter divers risques (infectieux, chimique et toxique, radioactif) qu’il convient de réduire pour protéger les patients faisant l’objet de soins mais aussi le personnel de soins et les agents en charge de la collecte et du traitement des déchets.
La recherche participative vise à associer à la production de connaissances les personnes directement concernées par celle-ci : personnes en situation de handicap, familles, professionnels de l’accompagnement, associations, etc. Ces dernières années, la recherche participative s’est développée dans le champ du handicap, impliquant différentes disciplines scientifiques. Elle répond autant à des impératifs scientifiques qu’à des enjeux de démocratisation des travaux de recherche, d’auto-détermination ainsi que de diffusion et d’appropriation des connaissances produites. Avec le soutien du Crédit Coopératif, un document a été rédigé. Il propose une présentation succincte des principales questions auxquelles répond la recherche participative, ainsi que les limites actuelles à son développement.
Au moins 80 % des établissements scolaires devraient être rénovés pour consommer moins d’énergie et faire face à la chaleur.
Dat elimite de dépôt de dossier : 31 octobre 2025. En lien avec la Direction régionale des affaires culturelles (DRAC), l'ARS BFC lanceun appel à projets portant sur le développement culturel en milieu hospitalier et médico-social dans notre région.
Date limite de dépôt de candidature : 10 octobre 2025. La Stratégie Nationale Autisme au sein des Troubles du Neurodéveloppement 2018-2022 prévoyait « la mise en place d’un parcours coordonné de bilan et d’intervention précoce d’un an pour les enfants de 0 à 6 ans inclus, afin d’accélérer l’accès à un diagnostic, favoriser des interventions précoces sans l’attendre, et ainsi répondre aux problèmes d’errance diagnostique et réduire les sur-handicaps.
L'Inspection générale des finances (IGF), l'Inspection générale des affaires sociales (Igas) et l'Inspection générale de l'administration (IGA) publient une revue des dépenses consacrées à l'hébergement d'urgence dans le cadre du programme 177.
Introduction – En France, la consommation de tabac est la principale cause de mortalité évitable, et elle est associée à de fortes inégalités sociales. Près de deux tiers des fumeurs déclarent avoir envie d’arrêter de fumer, mais peu d’entre eux y parviennent. L’objectif de cet article est d’étudier l’arrêt du tabac sur la période 2016-2019, marquée par une forte baisse du tabagisme. Méthodes – Cette étude repose sur les données du Baromètre de Santé publique France 2021, enquête téléphonique menée sur un échantillon aléatoire de la population résidant en France hexagonale âgée de 18 à 85 ans. L’analyse porte sur les 24 446 répondants dont le statut tabagique est renseigné. Les facteurs associés à l’arrêt du tabac sur la période 2016-2019, par rapport au fait de fumer quotidiennement en 2021, ont été estimés à partir de régressions logistiques. Résultats – En 2021, 23,9% des adultes étaient des ex-fumeurs quotidiens, et 29,8% de ces derniers avaient arrêté de fumer au cours des cinq dernières années, proportions en hausse par rapport à 2010. Chez les hommes comme chez les femmes, l’arrêt du tabac entre 2016 et 2019 était associé à un âge plus avancé, à un niveau de diplôme supérieur au baccalauréat et à l’usage quotidien de cigarette électronique. La probabilité d’avoir arrêté de fumer était plus faible chez les chômeurs, les personnes ayant une situation financière perçue comme difficile, les personnes dépassant les repères de consommation d’alcool à moindre risque et, parmi les femmes, chez celles ayant vécu un épisode dépressif caractérisé dans l’année. Conclusion – Cette étude souligne la persistance des inégalités sociales face à l’arrêt du tabac et la nécessité d’adapter les politiques publiques en conséquence. Par ailleurs, parmi les facteurs associés à l’arrêt du tabac, des travaux complémentaires seraient nécessaires pour mieux comprendre les interactions complexes entre les consommations de tabac, d’alcool et la santé mentale. [Résumé d'éditeur]
Introduction – Malgré les nombreuses mesures anti-tabac mises en place, le tabagisme demeure un enjeu majeur de santé publique en France. La question des normes sociales joue un rôle crucial dans ce contexte. Cette étude analyse des perceptions vis-à-vis du tabagisme chez les 18-75 ans en France hexagonale en 2022, en examinant leur variation selon les caractéristiques sociodémographiques et leur évolution dans le temps. Méthodes – Les données utilisées proviennent de l’enquête téléphonique Baromètre santé – Prévention tabac 2022. L’échantillon, obtenu de manière aléatoire, comptait au total 3 229 individus âgés de 18 à 75 ans vivant en France hexagonale. Pour certaines analyses, les données des baromètres de Santé publique France 2005, 2010 et 2017 ont également été utilisées. Résultats – En 2022, 66,6% des répondants estiment que la société désapprouve le fait de fumer et 52,6% pensent qu’à l’heure actuelle on est moins bien accepté quand on est fumeur. Les perceptions varient selon le statut tabagique et les caractéristiques sociodémographiques. Parmi les fumeurs, 86,3% sont d’accord avec l’affirmation : 'les personnes qui comptent pour vous pensent que vous ne devriez pas fumer'. Les fumeurs qui ont envie d’arrêter se déclarent davantage en accord avec cette perception. Entre 2005 et 2022, les perceptions relatives à la dénormalisation du tabagisme se sont diffusées, même si sur une période plus récente, certains signes semblent indiquer un inversement de tendance : ainsi, en 2022, 27,3% de personnes sont en accord avec l’affirmation 'fumer permet d’être plus à l’aise dans un groupe', contre 21,7% en 2017. Conclusion – Les résultats suggèrent une réduction des normes sociales favorables au tabagisme en France hexagonale, qu’il sera nécessaire de confirmer lors de futures enquêtes. Des disparités sociales persistent. Les campagnes et les interventions de dénormalisation devraient cibler les groupes les plus affectés par le tabagisme. [Résumé d'éditeur]
Du 1er mai au 30 novembre de chaque année, Santé publique France coordonne la surveillance renforcée saisonnière du chikungunya, de la dengue et du Zika.
En raison de la propagation inédite du chikungunya en France hexagonale, les autorités sanitaires redoutent l’apparition de foyers en dehors des zones habituellement touchées.
Le jeudi 12 juin à Besançon, le colloque des Villes-Santé a rassemblé plus de 150 participants représentant 37 villes et intercommunalités de France métropolitaine et d’outremer autour de la thématique « Jeunesse, santé et bien-être ». Suite à cette journée de rencontres, le Réseau français Villes-Santé vous partage son plaidoyer « Agir pour la santé des jeunes par une approche globale, inclusive et équitable ».